mercredi 24 août 2011

Sommaire


  • Rhââ Lovely ! : Orgasmes à répétition du chro-niqueur. J'exagère, je ne me donne pleinement que devant une photo de Margaret Tchatcher. On atteint ici le sans faute.
  • A croquer sans tarder : Du bon et du très bon, de l'oeuvre réussi à l'indispensable.
  • Trésors cachés : Des œuvres méconnues à découvrir
  • To infinity and beyond : Qui suis-je? Ou vais-je? Quel est l'age de la capitaine et ses mensurations? œuvre qui questionne et taraude nos esprits embrumés par la matrice et les discours fumeux de l'Architecte (comprend qui peut). Hum par corolaire...
  • Que d'un œil : Une oeuvre plaisante avec de l'idée mais intérêt mitigé dont on peut se passer.
  • Pet d'ascenseur : Plaisir honteux mais jouissif.
  • Part d'Histoire : Oeuvre qui lorgne, introduit voire discute de l'Histoire. Biographie incluses.
  • Décontracté du gland : Prise de tête nul, originalité inexistante, autoroute du divertissement. Nanars marrants, rouleaux compresseurs d'Hollywood... Le repos du guerrier après Mulholland Drive.
  • Ca ne me fait ni chaud ni froid : Aussitôt vu aussitôt oublié, passez le message et votre chemin.
  • La guimauve ça dégouline : Oh je t'aime mais notre amour est impossible. Rodrigue as-tu du coeur? Amour toujours mais amour trop lourd.
  • Slips et capes : Les super-héros. Le pêché mignon du chroniqueur qui se pare volontier en puissant Thor pour pianoter le clavier à petit de Mjolnir.
  • Trahiture! : Oh mais il a cinq pattes ce canard! Trompé sur la marchandise, on s'attendait à un truc et on finit avec un machin.
  • Je me abricot : Un gars monte dans un noyer et crie "Au secours je me noix!". Alors un type monte dans un abricot et crie "Au secours je me abricot!". Idem pour moi dans certaines œuvre je n'y comprends rien, je m'y abricot et ne vois pas où le réalisateur veut en venir.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire